NO MORE WASTE

No More Waste c’est un étude de faisabilité réalisé en collaboration avec le Département de Chimique de l’Ecole Polytechnique de Turin pour analyser le phénomène des déchets provenant du gaspillage des aliments avec une durée de conservation limitée, ainsi que ceux qui découlent des processus de production alimentaires.

O.N.D.E. – UWC

O.N.D.E. – UWC – Optimization for Networked Data in Envinronmental Urban Waste Collection –  è un progetto sperimentale finanziato dalla Regione Piemonte, che rappresenta il risultato della collaborazione fra European Research Institute, il Politecnico di Torino, la Cdu servizi (società specializzata in servizi di igiene urbana, attiva in 17 comuni dell’hinterland torinese) e le aziende Moltosenso e Nord Engineering. ERI, in particolare, ha contribuito alla progettazione e si è occupata della comunicazione del progetto. Lo scopo è quello di riorganizzare la raccolta dei rifiuti in ambito urbano coinvolgendo i cittadini, l’azienda che eroga il servizio e le amministrazioni, grazie all’utilizzo…

DECATASTROPHIZE

Il progetto Decatastrophize (Decat) ha preso avvio nel febbraio 2016 in seguito alla partnership fra diversi soggetti europei (European Research Institute, Cyprus University of Technology, Ciprus Civil Defense, Bureau de Recherches Géologiques et Minières, Foundation for Research & Technology, Technical University of Crete, Geoview system Ltd, GeoSolutions, Universidad de Alcalà) accomunati da un unico obiettivo: gestire e prevenire i rischi ambientali, attraverso l’implementazione di sistemi comuni che permettano di allertare e mettere in sicurezza i cittadini in caso di disastri naturali (come alluvioni o terremoti) o causati dall’uomo. Decat si propone di adottare un’unica piattaforma comune ai Paesi partner che…

DONG FILM FEST

Le Donf Film Festival qui s’est déroulé du 4 au 6 Novembre 2016 dans les sales du cinéma Massimo est le premier festival italien dédié entièrement au cinéma d’essai indépendant chinois.
Le Festival souhaite propager la connaissance de la culture chinoise, dans les territoire de Turin et du Piedmont, en choisissant le cinéma comme moyen de transmission afin de créer les bases pour une collaboration toujours plus étroite avec la chine, justement à partit du secteur artistique-culturel. L’objectif ultime est celui de consolider un équilibre commun entre Italie et Chine basé sur un sens identitaire universel.
Le projet a été promu par l’association culturelle Dong en collaboration avec l’Institut Européen de Recherche qui a pris partie à la conception du projet et s’est occupé du volet communicatif et avec l’Association Angi (Association Nouvelle Génération Italo-Chinois), l’Université de Communication de Shanxi, le Cinéma Massimo de Turin, le DAMS de Turin, le Musée d’Art Oriental, le Musée Nation du Cinéma et la Coopérative sociale Kalatà.
Le Dong Film Festival a reçu l’appui de la Ville de Turin, de la Région Piémont, de la Film Commission Torino-Piemonte et de l’Accademia Albertina des beaux arts de Turin.
Le Festival a montré pour la première fois cinq œuvres des réalisateurs chinois indépendants (en dehors de la propagande institutionnelle) et cinq courts-métrages, dont quatre ont été réalisé par la Comminication University of Shanxi (Cusx). L’événement qui s’est tenu en Novembre représente seulement la première partie d’un projet international plus grand visant à la mise en place d’un cercle vertueux où l’échange des visions entre Italie et Chine, entre Occident et Orient, peut aider à une compréhension réciproque des cultures. Le Dong Film Festival prévoit une deuxième édition qui va se mettre en place dans le printemps 2017 en Chine, premièrement dans la région du Shanxi, berceau de la millénaire culture chinoise chez la Communication University of Shanxi (CUSX) à Taiyuan – une des universités les plus importantes et à l’avant-garde en Chine – et après à Shangai. Le but est celui de présenter aux professeurs et aux étudiants des œuvres qui soient capables de raconter l’Italie et qui soient représentatives du phénomène créatif qui égaye la scène nationale.

SUPPORT TO LEGAL AID IN LEBANON

Le projet “Support to Legal Aid in Lebanon” (Soutien à l’aide juridictionnelle au Liban) qui a démarré en 2015 a été développé par la Sagesse University, une des principales Université de la ville de Beyrouth, en partenariat avec l’Institut Européen de Recherche et a vu la collaboration de la Human Rights Legal Clinic et de son Centre de Recherche. L’objectif visé est celui d’améliorer la qualité de l’aide juridictionnelle dans le pays.

Le niveau d’aide juridictionnelle est particulièrement inquiétante dans les prisons et dans les centres de détention où, même à cause d’une hausse des présences liée au grand afflux des réfugiés syriens, les détenus ont peu des possibilités d’accéder à un service adéquat d’assistance judiciaire et cette condition se pose en ouverte violation des principes d’équité et de justice.

Le projet vise en particulier à:
– Renforcer les capacités des parties prenantes engagées dans le système d’assistance judiciaire au Liban pour la provision des services de qualité;
– Institutionnaliser et moderniser les structures d’assistance judiciaire des ONG locales;
– Accroitre l’accès aux services d’assistance judiciaire de qualité des catégories marginalisées;
– Transmettre aux libanais les connaissances et les meilleures pratiques de l’Union Européenne en matière d’assistance judiciaire.

En particulier dans la réalisation de ce dernier objectif ERI va avoir un rôle de premier plan. L’Association mettra à disposition des operateurs locaux son expertise professionnelle afin de mettre au point un système des règles et des procédures efficaces et fonctionnelles en prenant comme exemples les standards européen et internationales les plus élevés du secteur des services d’assistance judiciaire.

Le travail de ERI et des ses partenaires va amplifier l’action des services d’assistance judiciaire au Liban et va en améliorer la qualité, à travers un soutien concret au niveau institutionnel et grâce à la promotion des standards internationales de sauvegarde des droits de l’homme au sein de la société et du système juridique Libanais.

P.E.N.SO.

PROJET D’ECOEDUCATION ET NOUVELLES SOCIALITES

Le projet d’Ecoéducation et Nouvelles Socialités (P.E.N.S.O) – présenté dans le cadre de l’appel “Fatto per Bene” publié par la Compagnia San Paolo – est le résultat du partenariat qui engage l’Institut Européen de Recherche, les Services Sociaux de la circonscription 1, l’Office exécutions des peines à l’extérieur (UEPE) et l’Agence Territoriale pour la Maison du Piedmont Central (ATC) et qui s’appui sur le soutien de l’Office Pio de la Compagnia di San Paolo.
Le projet a démarré au début du 2014 et in est toujours en cours de réalisation.

L’initiative veux mobiliser et recruter sujets qui appartiennent à des catégories spécifiques – ex-détenus, demandeur d’asile, inscrits au pole emploi, personnes désavantagées signalées par les Services Sociaux – afin de les engager dans l’activation d’un service pour la réalisation des travaux immobilières auprès des logements sociaux et pour le déplacement des meubles et d’articles d’ameublement qui seront réalloués en faveur des demandeurs selon les indications fournies par les services sociaux. Ceux qui peuvent bénéficier de ces services sont certaines catégories de sujets percevant les revenues les plus faibles, qui peuvent jouir de ces mesures à posteriori d’une demande expresse.
Ce service, s’il est octroyé en faveur des sujets désavantagés du point de vue socio-économique, est fournit à titre gratuit par les sujet recrutes.

Le projet P.E.N.S.O. veut donner la possibilité aux familles et aux sujets de réaliser un échange de ressources et des compétences tout en activant des nouvelles synergies, outre que d’encourager une collaboration fertile entre société civile, services sociaux et institutions.

Le but ultime est celui de lutter contre les différentes formes de pauvreté qui nuisent à la qualité de vie des personnes en difficulté, en cherchant à faire face à la pénurie des ressources qui caractérise le système de protection sociale après la crise économique qui a touché tout le pays. Lutter contre la pauvreté en accordant des possibilités d’emploi et de réinsertion sociale aux sujets désavantagés indiqués par les services sociaux, parmi lesquels on trouve les ex-prisonniers.